
217 km pour le Ventoux
- Arnaud
- Maillot jaune
- Messages : 730
- Enregistré le : sam. 13 mai 2006 18:45
- Localisation : Sur le vélo
217 km pour le Ventoux
De chez moi je vois Ste Victoire et en la passant par le vallon de Pourrières, je vois le Luberon. Je le franchis alors par le col de l'Aire Deï Masco et là je vois le plateau de Vaucluse. Je l'escalade par le col de Murs et là, devant moi ... Impossible de résister

Re: 217 km pour le Ventoux

Mais à la réflexion quand on est arrivé au sommet du Ventoux, laissant derrière son petit chez soi, est-ce que par hasard on ne verrait pas les Alpes ... à portée de mains, par temps clair bien sûr


A bientôt sur le vélo !
- Arnaud
- Maillot jaune
- Messages : 730
- Enregistré le : sam. 13 mai 2006 18:45
- Localisation : Sur le vélo
Re: 217 km pour le Ventoux
Tu as raison, heureusement que le temps était brumeux et que je ne voyais pas les Alpes, sinon … qui sait ?
Sur un air de Francis Cabrel :
« Et tu m'as dis quand leurs ailes sont mortes
Les papillons vont où le vent les porte
On a pris le premier chemin venu
Et quand la nuit venait
Sur les dures montées
On était bien loin de la ville
On n'entendait que les fous
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile
On a escaladé le Ventoux
Comme de vrais gamins fous
Sans même penser au retour
On s'est perdu dans les nuages
Comme les oiseaux de passages
A suivre les fils d'un jour
Et pour ne pas que des fous nous renversent,
On prenait les chemins de traverse
Même s'ils ne sont jamais les plus courts
Et quand la nuit est venue
Sur la route nue
On était bien loin de la ville
On n'entendait que les loups
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile
Et quelques fois je me souviens
Ceux qui nous ont lâché les chiens
Et jeté des pierres au visage
Ils n'ont rien empêché quand même
Puisque le seul métier qu'on aime
C'est la bohème et le voyage
Et quand la nuit va venir
vraiment sans mentir
On sera bien loin de la ville
On n'entendra que des gnous
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile »
Sur un air de Francis Cabrel :
« Et tu m'as dis quand leurs ailes sont mortes
Les papillons vont où le vent les porte
On a pris le premier chemin venu
Et quand la nuit venait
Sur les dures montées
On était bien loin de la ville
On n'entendait que les fous
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile
On a escaladé le Ventoux
Comme de vrais gamins fous
Sans même penser au retour
On s'est perdu dans les nuages
Comme les oiseaux de passages
A suivre les fils d'un jour
Et pour ne pas que des fous nous renversent,
On prenait les chemins de traverse
Même s'ils ne sont jamais les plus courts
Et quand la nuit est venue
Sur la route nue
On était bien loin de la ville
On n'entendait que les loups
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile
Et quelques fois je me souviens
Ceux qui nous ont lâché les chiens
Et jeté des pierres au visage
Ils n'ont rien empêché quand même
Puisque le seul métier qu'on aime
C'est la bohème et le voyage
Et quand la nuit va venir
vraiment sans mentir
On sera bien loin de la ville
On n'entendra que des gnous
Et le bruit de nos roues
Sous la pleine lune immobile »