Rentrés hier soir des monts du Lyonnais en voiture hélas, nous avons découvert, Noëlle et moi, avec ravissement ces photos très poétiques, comme le dit Jo, et qui donnent envie de participer l'an prochain à cette aventure du Ventoux la nuit.
Questions : est-ce que pédaler développe les qualités de photographe/poète ? ou bien faut-il être un poète pour bien pédaler ?
Or on a tous en tête que nombre de poètes pédalent à côté du vélo et aussi que pas mal de brutes du vélo ne sont pas des as de la poésie romantique
Une seule certitude, si on peut dire, c'est que les pentes du Ventoux, lieu mythique s'il en est pour un cycliste, développent le sens du sublime et de l'éternité !
On comprend mieux que ceux qui ne l'ont pas encore fait trépignent d'impatience !
Quand on le fait pour la première fois on atteint le nirvana et Arnaud prouve qu'à la cinquante millième fois on est presque dans le même état
